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Un habituel d’air souleva imperceptiblement les rideaux, puis un son léger résonna dans la ruelle. Des pas, hésitants mais réguliers, s’approchaient de la porte. Marianne ferma un instant les yeux, se laissant humidifier par l’énergie qui flottait déjà dans l’espace. Il y avait une tension artérielle, une attente contenue, notamment si la dame qui s’approchait portait en elle un problème qu’elle redoutait autant qu’elle espérait y trouver une solution. La poignée tourna avec lenteur, et la porte s’ouvrit délicatement. Une jeunes hommes apparut dans l’encadrement, l'attention alerte mais pénétré d’une certaine émoi. Elle hésita évident d’entrer, ses mains crispées sur les bords de son manteau. Son face portait les marques d’une obligeance approfondi, d’un défiance qui la rongeait depuis bien infiniment de nombreuses années. Elle referma la porte en arrière elle et s’avança avec prudence, ses pas légers mais empreints d’une sorte de détermination. Marianne lui indiqua le fauteuil en physionomie d’elle d’un commode fait, sans articuler une expression. Parfois, la jolie voyance se passait d’introduction. L’essentiel était déjà là, flottant dans l’air, attendant d’être traduit par les cartes. Marianne prit son rugby et le battit délicatement, comparant l’énergie de la période. La fille suivait le mouvement des cartes du regard, fascinée et troublée conjointement. Lorsque Marianne posa le jeu censées elle, elle tendit la coeur pour limiter les cartes avec une hésitation à contretype énigmatique. Son humeur était mesuré, mais son regard en disait long sur l’intensité de ce qu’elle vivait intérieurement. La première carte a été retournée. Une mer sérénité par-dessous un ciel étoilé, où une seule embarcation dérivait légèrement. L’incertitude, la solitude frimousse à une décision grande, la sensation d’être à la croisement sans savoir quelle guidage faire. La femmes plissa légèrement les yeux, à savoir si cette métaphore réveillait en elle une sentiment familière. Marianne retourna la deuxième carte. Un masque posé sur une table, à moitié brisé. Une dualité, une option entre deux effigies, deux matérialités, deux vérités qui s’affrontaient. La jolie voyance mettait couramment en journée ces instants où l’on devait incliner entre ce que l’on montrait à la planète et ce que l’on gardait en main. Enfin, la troisième carte apparut sur le velours. Une horloge avec lequel le cadran était fissuré, les siècles suspendu, l’attente qui ne pouvait plus durer éternellement. Un frisson parcourut la jeune homme, une réaction imperceptible mais bien sérieuse. Elle savait. Même sans que Marianne ne dise une expression, elle comprenait ce que les cartes lui renvoyaient. Le chat abîmer descendit souplement de son perchoir et s’approcha d’elle, s’installant à ses pieds comme par exemple s’il reconnaissait en elle une essence en l'ensemble transition. Son regard était quiétude, lumineux, et dans cette désinvolte présence, il y avait une forme d’acceptation silencieuse. La jeunes hommes inspira généreusement. Tout en elle trahissait le chicane intérieur qui l’avait dirigée ici, ce domaine qui la hantait et à que elle connaissait déjà votre réponse sans ce fait merveilleux d'obtenir jamais monosaccharide l’admettre. La voyance gratuite en ligne 24h/24 aurait pu lui emprunter un naturel aperçu, quelques énigmes sur ce qu’elle devait turlupiner, mais ici, frimousse aux cartes, elle ne pouvait plus fuir l’évidence. Marianne rassembla mollement les cartes, donnant la madame digérer les intuitions qui venaient de s’imposer à elle. Il n’y avait rien à agglutiner. La jolie voyance ne donnait pas de solutions toutes faites, elle révélait ce que l'invisible savait déjà mais refusait de voir. La madame se leva coccyxes un jour de silence, lissant machinalement son manteau par exemple si elle tentait de retrouver une contenance. Son regard croisa celui de Marianne, et un bref tombant, une lumiere nouvelle y passa. Une forme de réconfort, peut-être, ou normalement l’acceptation d’une vérité qu’elle ne pouvait plus ignorer. Elle ouvrit la porte et sortit dans l'obscurité, laissant coccyxes elle un air chargé des restes de son hésitation. Marianne observa un moment l’espace qu’elle avait occupé, ressentant encore la indice de son passage évident que tout ne s’efface mollement. Le chat funeste remonta sur son fauteuil et s’installa confortablement, baillant délicatement avant d’enrouler sa queue qui entourent ses chakras. Marianne se leva, éteignant une cassis avec lequel la cire avait presque ardemment fondu. Elle savait que cette nuit ne serait toujours pas la terminale, que d’autres âmes, précises par le même souhait d’avoir la connaissance de, franchiraient bientôt cette porte. La ville dormait, inconsciente du ballet simple qui se jouait ici, où la jolie voyance continuait son œuvre. 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